Le Sarouel : avec sa coupe bouffante, ses matières lumineuses est réservé dans la majorité des cas à une utilisation scénique lors de vos représentations
Un peu d’histoire …
Le Sarouel appelé aussi Serouel (qui peut aussi s’écrire Sawrouel) est caractérisé par un entre jambe très bas à la limite des genoux nous vient tout droit du royaume de Perse, longtemps favorisé par les marchands et voyageurs pour son confort, ce pantalon a été introduit en France au 19eme siècle d’Afrique du Nord. Il a été adopté par de nombreuses modes lors de cette dernière année : la culture hippie, les fêtards.
En Danse orientale le sarouel trouve bien entendu sa place comme élément incontournable de la garde de robe de toute danseuse. Effectivement les plus grandes danseuses en portaient déjà il y a plusieurs dizaines d’années sur scène, comme par exemple la grande Samia Gamal (Egypte) qui n’hésitait pas à détourner le sarouel avec des tissus mousseline transparent d’une rare féminité ou même encore par des Danseurs homme comme le phénoménal Rachid Alexander (Hollande)
A savoir :
Parce qu’il ne serait pas objectif de faire l’éloge du sarouel de danse orientale sans parler des contraintes, nous souhaitons clairement évoquer quelques détails à prendre en compte lors du choix de votre tenue, Le Serouel étant réalisé dans des tissus rarement étirables, il n’est absolument pas adapté aux chorégraphies comportant des flexions complètes (debout-assis) ou autre mouvement au sol. Pas de miracle : les coutures ne supporteront pas et craqueront a l entre jambe ou sur le fessier. De plus il faudra faire attention lors du choix a la largeur de cuisse qui elle aussi si elle n’est pas adaptée pourra vous gêner lors de votre représentation.